🇦🇷 Tinogasta >> Cochabamba 🇧🇴 >> Iquique 🇨🇱

1er octobre

tinogasta >> belén (83 km)

 

Sorti de quelques jours d’intraveineuse pour récupérer du Paso San Francisco et après presque trois semaines passées à Tinogasta, je reprends le voyage par une piste de 60 km en suivant d’abord le lit sablonneux d’une rivière asséchée jusqu’à la Cuesta de Zapataen parcourant ensuite un ancien Camino del Inca pour finalement retrouver l’asphalte pour les 23 derniers  kilomètres jusqu’à Belén. (1 crevaison)

 

2 octobre

belén >> santa maría (170 km)

 

60 km de piste jusqu’à Hualfín (2 crevaisons) puis liaison en bus jusqu’à Santa María.

 

5 octobre

santa maría >> ruines de quillmes (30 km)

 

30 km dont 12 km de piste.

 

6 octobre

ruines de quillmes >> cafayate (55 km)

7 octobre

cafayate >> salta (200 km)

 

200 km dont 60 km à vélo par la Quebrada de las Conchas puis, à cause d’un vent de face impossible, 140 km en stop jusqu’à Salta.

 

1er novembre

salta >> general güemes (40 km)

2 novembre

general güemes >> San Pedro (56 km)

 

Grosse chaleur :  40°C

 

3 novembre

San Pedro >> libertador san martin (55 km)

 

Encore énorme chaleur : 45°C à 50°C

 

5 novembre

libertador san martin >> embarcación (95 km)

 

Après une journée de repos à l’abri de la fournaise, reprise de la route par une température plus clémente de 20°C et première bruine depuis 2 mois et demi de voyage.

 

6 novembre

embarcación >> TARtagal (87 km)

9 novembre

TARtagal >> pocitos - frontière bolivienne 🇧🇴 (54 km)

 

Retour de la grosse chaleur :  40°C

 

10 novembre

pocitos - frontière bolivienne 🇧🇴 >> villamontes (90 km)

11 novembre

villamontes >> boyuibe (100 km)

12 novembre

boyuibe >> camiri (60 km)

C’est dans cette région de Bolivie qu’en 1967 se développa la guérilla du Che. À Camiri où se tiendra le procès qui condamnera le philosophe français R. Debray à 30 ans de prison pour sa collaboration à l’action armée des rebelles, une caserne dont une partie est transformée en musée expose la liste des participants à ce foco de guérilleros ainsi que leurs portraits remis à l’époque à l’armée bolivienne par un de leurs membres capturé.

 

14 novembre

camiri >> gutierrez (70 km)

15 novembre

gutierrez >> abapó (70 km)

 

Puis liaison en micro jusqu’à Santa Cruz de la Sierra (150km)

 

21 novembre

Santa Cruz de la sierra >> bermejo (80 km)

22 novembre

bermejo >> samaipata (40 km)

Parque Nacional Amboró

30 novembre

samaipata >> cochabamba (380 km)

 

Liaison en bus jusqu’à Cochabamba.

 

3 décembre

cochabamba >> pongo (93 km)

 

93 km dont 52 km tirés par 2 camions dans les montées (main agrippée au camion, pied sur la barre à l’arrière).

 

4 décembre

pongo >> oruro (120 km)

 

120 km dont 80 km tirés par un camion. (Grêle à l’arrivée à Oruro)

 

7 décembre

oruro >> poopo (60 km)

 

2 crevaisons – vent de face

8 décembre

poopo >> challapata (63 km)

9 décembre

challapata >> quillacas (60 km)

10 décembre

quillacas >> salinas garci mendoza (120 km)

 

Liaison en bus et passage près d’un cratère de météorite.

 

11 décembre

salinas garci mendoza >> Tahua (40 km)

Sur l’inspiration du moment et donc sans préparation, je laissais mon vélo et une partie des affaires en pleine nature pour escalader les pentes du volcan Tunupa et pouvoir avoir une vue panoramique sur les salars environnants. 

 

Panorama à 4400 m d'altitude : vue sur les Salars de Uyuni et Coïpasa

12 décembre

Tahua >> llica (80 km)

Seconde traversée du Salar de Uyuni mais cette fois dans sa partie nord :

 

 

À partir de Llica, chemin de sable quasiment impraticable à vélo en direction de Pisiga => Liaison en camionnette Llica-Pisiga (100 km par le Salar de Coipasa) et frontière franchie => Nuit à Colchane 🇨🇱 !

 

Sur le toit de la camionnette dans le Salar de Coipasa

13 décembre

Colchane >> iquique (250 km)

 

50 km à vélo puis, 200 km en camion pour rejoindre Iquique.

Photo du Cerro Unita prise depuis le camion

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