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Carnaval de Rio

 

30 janvier : départ de Buenos Aires (nuit à Zarate)

31 janvier : stop jusqu’à Gualeguaychú (nuit au camping / journée à + de 45°C)

2 février : passage de la frontière uruguayenne par le Pont General San Martin et 60 km de stop jusqu’à Mercedes.

3 février : 100 km jusqu’à Nueva Palmira

4 février : arrivée à Colonia

5 février : nuit en tente à Colonia Valdense

6 février : Montevideo

7 février : Piriapolis

9 février : Punta del Este

13 février : San Carlos

14 février : Castillos (nuit en tente)

15 février : Cabo Polonio

16 février : Punta del Diablo

 

 

18 février : Chuy (frontière Brésil)

Du 18 au 23 février : Pelotas, Porto Alegre et Florianópolis avec ses rues saturées du rythme de Berbigão do Boca et le sable fin de Barra da Lagoa.

23 février : Camboriú

Du 25 au 28 février : stop non-stop en camion jusqu’à Rio de Janeiro en passant par le monstre urbain pauliste. Arrivée mémorable dans la Cidade Maravilhosa avec notre routier qui, devant nous laisser dans une station squattée par des centaines de jeunes d’une favela toute proche à la recherche de travail, ira jusqu’à en payer un pour assurer notre sécurité le temps que l’on puisse prendre un bus jusqu’au centre de Rio.

Carnaval de Rio

 

7 mars : départ de Rio pour les Chutes d’Iguazu en passant par la côte sud de Rio, puis São Paolo, Curitiba en bus, puis en stop par Guarapuava et Cascavel.

9 mars : passage de la frontière argentine à Foz do Iguaçú et arrivée à Puerto Iguazú.

Chutes d’Iguazú

 

15 mars : départ de Puerto Iguazú en stop pour Eldorado où nous retrouvons une amie enseignante qui nous accueille deux jours.

17 mars : départ en stop jusqu’aux ruines de missions jésuites de San Ignacio.

Ruines jésuites de San Ignacio

 

18 mars : visite des ruines, départ en stop pour Posadas et incursion d’une journée au Paraguay (🇵🇾).

Du 19 au 22 mars : bus et stop pour rejoindre Buenos Aires depuis Posadas.

 

Nota Bene : afin de dépasser les images de cartes postales et de reproduire fidèlement l’ambiance dans laquelle cette virée et d’autres se sont déroulées au Brésil, il convient de ne pas passer sous silence quelques-uns des faits marquants que nous avons subis : des chiens lâchés pour nous forcer à évacuer une station où nous faisions du stop, une tentative de vol par une bande armée de couteaux sur la plage de Copacabana à Rio que nous parvenons à déjouer, mais qui sera suivie 15 minutes plus tard, dans un bus, par un vol cette fois couronné de succès : quelques gros billets évaporés ! Rien d’étonnant pour un pays qui possède un des taux d’homicide les plus élevés du Monde et qui malheureusement anéantit le meilleur par le pire !

 

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