Au premier jour de ce nouveau périple au départ du Lac Léman en direction de la mer Méditerranée, se profilent le Col des Gets, puis le coriace Col de la Colombière.
Avoir affronté la veille, et dès l’entame de ce circuit alpin, le col des Gets sous une pluie froide et surtout le redoutable col de la Colombière, laisse forcément quelques traces et la mise en route est laborieuse au bas du Col des Aravis pour cette deuxième étape. Mais rapidement le bon rythme est pris et le suivant, le Col des Saisies, sera avalé sans encombre.
Majestueux Cormet de Roselend entre Beaufort et Bourg-Saint-Maurice avant d’avancer mes pions sur la route de l’Iseran jusqu’à Sainte-Foy-Tarantaise.
Il aura donc fallu 3 étapes depuis Bourg-Saint-Maurice pour venir à bout du Col de l’Iseran avec un soleil qui finira par ouvrir une fenêtre de contemplation du point culminant de cette Route des Grandes Alpes et offrir une douce descente jusqu’à Saint-Michel-de-Maurienne en contournant tout le massif de la Vanoise.
Deux gros morceaux au menu avec le Col du Galibier par le Col du Télégraphe entrecoupés d’une pause déjeuner à Valloire.
C’est au beau milieu d’une course cycliste que nous sortons de Guillestre et l’aspiration n’y fera rien : nous serons immédiatement décramponnés à l’approche des premières pentes du Col de Vars.
Imprégnés la veille au soir des airs mexicains de Barcelonnette, nous partons de bon matin à l’assaut du Col de la Cayolle.
Enchainement du Col de Valberg et du Col de la Couillole pour finir la journée dans l’ascension du Col de la Colmiane !
Avant-dernière étape de cette Route des Grandes Alpes avec la fin du Col de la Colmiane et le redoutable Col du Turini effectué sous un soleil de plomb. Harassant !
Clôture en douceur de ce périple par le Col du Castillon, puis la Côte d’Azur par Menton, Monaco et le Col d’Eze avant de jeter l’ancre à Nice !
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